Au Québec, le français et l’anglais étaient les deux langues les plus parlées. En effet, plus de 95% de la populationPopulation comes from the Latin populus, meaning “the people.” We say population when we talk about a group... québécoise parlait une de ces deux langues. Dans les Prairies, la situation était tout à fait différente. En fait, il fallait être « polyglotte qui parle plusieurs langues* » pour se faire comprendre, c’est-à-dire qu’il fallait parler plusieurs langues.
Au début de la colonisationgroupe de personnes (colons) qui s’établit sur un nouveau territoire (RECITUS)
des Prairies, le français était la langue la plus parlée, mais son influence a diminué au fil des ans. Les nouveaux arrivants parlaient anglais. Puis, d’autres arrivants parlaient de nouvelles langues comme le russe, l’allemand, le polonais, etc.
Les communautés étaient souvent éloignées et isolées les unes des autres. Donc, il n’était pas nécessaire d’apprendre une autre langue pour se faire comprendre dans sa localitéendroit où l’on vit (petite ville ou village)*. Lorsque les gens voyageaient, ils devaient souvent utiliser une autre langue pour communiquer avec les gens d’un autre village.
Une partie importante de la populationPopulation comes from the Latin populus, meaning “the people.” We say population when we talk about a group... parlait d’autres langues que le français et l’anglais dans les Prairies, comme le montre le tableau ci-dessus.
* polyglotte qui parle plusieurs langues : qui parle plusieurs langues
* localitéendroit où l’on vit (petite ville ou village) : endroit où l’on vit (petite ville ou village)