Au début du 20e sièclepériode de 100 ans (recitus), il y avait de plus en plus d’habitants dans la région des Prairies et l’agriculture se développait. En quelques années, le blé devenait la base de l’économie des Prairies. En 1900, c’était le plus important produit d’exportationvente de produits à d’autres pays (RECITUS) du Canada. Il était surtout envoyé à la Grande-Bretagne et aux États-Unis. De 1896 à 1911, le nombre de boisseaux de blé exportés est passé de 8 à 75 millions.
Le travail des agriculteurs était difficile. Ils devaient labourer les champs et faire les semences tôt au printemps, après la fonte matériau fait de fer et de carbone pour fabriquer des objets des neiges. Dès la fin de l’été, ils faisaient la moissonmoment où l’on coupe et l’on récolte
*: le blé était coupé et les épis étaient attachés en gerbes. Ce travail était difficile même si les agriculteurs utilisaient des moissonneuses-lieuses. Les gerbes étaient ensuite apportées à la batteuse qui enlevait le grain. Puis, les fermiers allaient porter leurs grains à un élévateur à grains. Il y avait des élévateurs à grains tout le long des voies ferrées, car les trains transportaient les céréales (ex: le blé) vers les grands ports canadiens et américains, dont Montréal.
L’agriculture des Prairies n’était pas comme celle des provinces de l’Est, parce que le climatClimate is the average and normal weather in a specific place or region. était très différent. Cette région dite « semi-aride » recevait peu de pluie. Comme il n’y avait pas beaucoup de pluie, les agriculteurs devaient garder les terres humides pour faire pousser les plants. Ils utilisaient un labour léger pour garder l’humiditélorsqu’il y a de l’eau dans l’air. des sols. Ils utilisaient aussi la méthode de la jachère, c’est-à-dire qu’une partie des terres était cultivée et l’autre partie était laissée en repos pour qu’elle se régénère.
Vers 1905, le gouvernement fédéral a trouvé une solution à la courte durée de la saison de culture. Il a inventé une nouvelle variété de blé, nommé le blé Marquis. Ce blé pouvait être récolté plus tôt et il produisait plus de grains. Parce que les céréales étaient matures plus tôt, les fermiers ne perdaient pas toute leur récolte à cause d’un gel à la fin d’août.
Auteur : Service national du Récit de l’univers social