En 1905, l’Église était le groupe social le plus important de la société québécoise. L’Église influençait presque tous les domaines de la société. Les paroisses catholiques, autant à la campagne qu’à la ville, étaient le cœur même de la vie sociale d’une énorme majorité de Québécois.
En 1905, 85 % des Canadiens français, ainsi que la plupart des immigrants irlandais, sont catholiques. Les Anglais et les Écossais au Québec étaient en majorité protestants. Une minoritéqui a le plus petit nombre de personnes sont de religion juive ou pratiquent d’autres types de religion.
Éducation et santéHealth is when you are free of injury, and physically and mentally well. Healthy eating means...
Même si la plupart des enseignants étaient laïcs, l’Église contrôlait le système d’éducation francophonequi parle français (recitus)
et catholique. Les communautés de soeurs dirigeaient la majorité des hôpitaux où les malades étaient soignés. Elles géraient également de nombreux organismes pour aider les orphelins, les adolescentes enceintes et les veuves.
Contrôler les idées
L’Église voulait garder un certain contrôle sur la populationPopulation comes from the Latin populus, meaning “the people.” We say population when we talk about a group.... Donc, elle a créé ses propres associations de travailleurs et de femmes pour s’opposer aux mouvements des syndicats et féministes. L’Église possédait même des journaux. Elle s’assurerait que la populationPopulation comes from the Latin populus, meaning “the people.” We say population when we talk about a group... québécoise connaissait bien les valeurs catholiques. Dans la ville de Québec, le journal se nommait l’Action catholique et à Trois-Rivières, il se nommait le Bien public.
Une option pour les femmes
Comme l’Église était importante, il était très valorisant qui se donne de l’importance
de faire partie de l’Église. Plusieurs personnes choisissaient d’ « entrer en religion ». Ils devenaient un curé ou une soeur. En 1905, les jeunes femmes de milieu modeste n’avaient pas beaucoup de choix de vie. Elles étaient souvent femmes à la maison. Les autres, celles qui ne voulaient pas de la vie de ménagère, pensaient souvent à se joindre à une communauté religieuse. Chaque communauté avait sa vocation particulière. Par exemple, les soeurs Augustines s’occupaient des malades, les Soeurs de la Charité s’occupaient de l’aide aux pauvres alors que les Ursulines travaillaient à l’enseignement au primaire.
Piste d’enseignement FLS :
– utilisation des mots collectifs (la plupart, la majorité)
– utilisation des mots comparatifs (le plus…)
AuteurAuthor - A person who writes something Auteur - Une personne qui écrit quelque chose : Service national du Récit de l’univers social