Jean-Baptiste de Lorimier venait d’une grande famille au Canada. Il est né à Caughnawaga (maintenant Kahnawake, au Québec). Son père travaillait pour les Britanniques. Il a aidé Jean-Baptiste à devenir interprète, c’est-à-dire quelqu’un qui parle plusieurs langues, quand il était plus vieux. Sa maman était Mohawk (Kanien’kehá꞉ka) de Kahnawà:ke.
Plus tard, Jean-Baptiste a aussi travaillé à Kanehsatà:ke, près d’Oka, comme interprète. Il est devenu capitaine et a été envoyé à Saint-Régis (Ahkwesáhsne, Quebec).
Mais la guerreWarfare is when there is a struggle or battles or organized fighting between enemies (which could... a commencé avec les Américains. Deux semaines après, il a été envoyé à la frontière du Niagara pour se battre avec des guerriers autochtones du Bas-Canada.
Jean-Baptiste et environ 300 guerriers Haudenosaunee de Kanehsatà:ke et Ahkwesáhsne, j
e sont joints à environ 100 guerriers Mohawks du Grand River. Ce groupe a aidé à vaincre les Américains près de Beaver Dams (Thorold).
Lorimier est resté dans la région du Niagara pendant deux mois parce que les Américains, qui étaient dans le Fort George, continuaient à se battre. Le 17 août, il a été blessé et est devenu prisonnier. Il a souffert beaucoup en prison, et cela a causé des problèmes entre les Britanniques et les Américains. Ses blessures l’ont affecté toute sa vie.
En 1814, Lorimier a passé du temps à protéger des bateaux qui voyageaient sur les Grands Lacsensemble des cinq lacs situés à la source du fleuve Saint-Laurent. Ce sont les lacs Ontario,.... Il parlait plusieurs langues autochtones, ce qui était très utile. Après la guerreWarfare is when there is a struggle or battles or organized fighting between enemies (which could..., il est retourné à Saint-Régis pour aider avec des problèmes de terre entre les Kanienʼkehá꞉ka et les colons blancs.
Texte de Douglas Leighton. Adapté par LEARN pour les élèves du primaire en français langue seconde . Source: LORIMIER, JEAN-BAPTISTE DE – Volume VII (1836-1850) – Dictionary of Canadian Biography